Routes féodales

barbares en sang le long des routes

 

Le pacte de Sanlios

Jérome

Le soleil se lève dans la sève

il crève

il veut fuir pour mieux mourrir

if cire.

Dans la mer sans soleil

il espère Marseille.

Les cigales chantent au loin

il respire demain.

Il intègre un sein

délicieux autant qu'un,

pauvre homme

dans son summum

Son sang, averti, en coule trois

et abîmé il veut sa loi.

Enfermé dans une cave,

Il joue avec sa bave,

il joue sans âme

et perd tous ces blames.

D'un lavabo plein degerbe,

dans les arbres verts, il veut l'herbe,

lêtre fécond

déconde son con.

Il devine une vie

qui dans toutes les cîmes

respire au fond des abîmes

usent dans les prisons les limes.

Libertés outragées

Espoir usurpé.

Dans un ciel d'absynthe

dans des amsses acides,

il sent tout son vide,

et c'est dans l'étreinte

qu'il respire le sang rouge,

il bouge,

se murge

se purge.

Vive l'âme de l'animal

crève ceux qui force

férocent

les êtres anals.

Et par dessus les mers

aux confins des usures quotidiennes

il pleurt sa mère,

qui est la tienne.

 

Alcohol

Jérome

Alcool fécond, foie si rond,

âme si bonde,

infini petit monde.

Je te crève pastis,

plein de vices,

et dans ces six

je préfère ta pisse.

Vagin triomphal,

exgurgiscence anale,

sexe malade,

simple ballade.

 

Solitaire bleu

Jérome

Et les notes imbriquées

les maisons accumulées,

savoir de désespoir,

espoir noir.

Je suis seul,

sans deuil

je suis seul,

sans seuil.

Abandonné dans le chaud gravier,

je respire l'odeur des oliviers

les humeurs des sons chauds,

un ciel d'azur sans os.

 

Solitaire rouge

Jérome

Paulo se réveille, il boit sa vodka, crève sous son verre et rembobine sa mémoire sans aucun espoir. Il cherche un cafard au fond de la marmite. Minable, désirable sans sable, il s'allonge, se caille, se pend dans la paille et les vaches accumulées le remplissent ...

Le mouton fait con, suit sa femme dans l'âme. Ils se pâment et dans l'indifférence s'aiment sans problèmes. Dans les journaux,

il s'asseaoit,

dans les bistrots,

il boit,

Dans la nature

il voit,

il prend la mer et ses vagues bleues azur.

Sueur engloutie, âme finie.

Il préfère, espère un dieu.

Crève qui dans le ciel se fiel.

Viens à moi,

toi qui dans tes parfums

se noie

sans chagrin.

Tu préfères ta lumière,

tu préfères les déserrts

qui puent le Caire.

Tu arrives à hier.

Et sans toi,

c'est loi,

c'est foie,

c'est syrose morose,

qui pose

le pourquoi ??

 

Solitaire grise

Jérome

Petite lucie,

avachie dans ton canapé,

tu me fais pitié

endormie.

Tu respires une haleine,

tu prends la place d'une baleine,

tu pue du cul,

tu sens l'étuve.

Vapeur oxygène,

vodka abîmée,

je te meurs

Ô malheur.

Palace,

estrasse,

petit pêcheur dans ta barque

tu as le quark,

tu as l'espace,

masse.

Invisible,

dissmule,

je t'encule

indicible.

Parle moi de toi,

crève moi.

Outrages ta vie, les autres

respire la mort glauque.

 

Peste nouvelle

Jérome

Je veux crever dans une syrose cancéreuse d'avoir trop abusé dans un quelquonque excès.

Un arbre malade, fade ballade,

dans une quelquonque cagade,

respire devant une atmosphère

qui dans les fonds abîmes et mers

je sers

la bière

dans mon verre :

calvaire.

Sur une pierre tombale,

je dors si mal.

Acculée, boisé, joué , piégé,

pris par les pieux

cieux d'un rythme aphrodisiaque

sans macaque,

sans un seul sac...

Mort animée,

espoir gagné,

juste fini par terre,

sans gagné une année,

je t'enterre toi et ta mer.

Vivre libre dans mon espoir vil,

egoïste

et quantictofracto es ton dia mala,

basto es falacio si tôt.

Lune couchée,

espoir brisé.

Tabita amaré basse,

rhum vodka sallase,

brise acoustique

cyclone analitique.

 

Je bois ...

Jérome

Théories futures,

obscurs dilemnes,

sans les mêmes,

je sème les sales,

habile et pâle,

je respire les dalles.

Je marche sur les routes,

sans aucun doute.

Jouer par une amie abîmée,

espoir usé.

Je bois...

 

 

Amour visionnaire

Jérome

Sans idéal,

Sans optimum,

atteins le maximum,

Sautes par dessu les murs,

et sûr,

tu es emprun,

à une haine catacombe.

Abuse mortelle divine

de la vie maline,

qui abonde ton monde.

Tu es pourris de l'intérieur,

laisse-toi dévorer par l'habitude,

cède à la cervitude

et palit les pommes ocultes.

Essence® danse

Panse® démence

Pense® imminense

Sens® cadence

Tu peux brandir,

mourir : tu as à finir.

Lumières salivaires,

gerbe monstrueuse.

Tueuses, balaises

haineuses, fuyardes,

Alphabet, language,

mages, adultères

fuie

fuit

quitte cette place

LUCIE.

Amour Pour ?

Haine Saine

Indifference Sans

Foie : Danse.

Outrage

Sans Maison.

 

+/* intégrogations

Jérome

* Il vaut mieux dire que rire.

** Jour venu, nuit perdue.

*** Calme sur, asme pur.

/* Amour perdu, amour du.

/** Vie sans vague, alpague.

/*** Drogue sans bogue, contagion vague.

//* Bouteille vide, sale bide.

//** Eté fini, heureuse nuit.

//*** Les hommes rient, le ciel vit.

///* Pleuré une personne, c'est la mort qui sonne.

///** Crever, vivre

C'est l'histoire de volonté ou d'être ivre.

///*** Manger boire et mourri

C'est la poire en train de mûrir.

+/* Mur, barrière, c'est l'étrange hier.

JOYEUX ANNIVERSAIRE.

 

A demain

vin

putain

saint juin

sans main !!

 

Direction

Jérome

Diriger sans s'égarer,

Commander sans gouverner,

pourriture moisissable,

délectable instinctition,

Administrer la colère sans rire,

Débuster sans guillotiner,

Mancher les prisonnables,

Débucher les braises dans le

foisonnement patriarcal,

Exiler les félins sans falution,

Reprendre les xinogrammes

pour une universable langue

qui est l'immagination.

 

Artuisme

Jérome

L'intégrale artistique et

Le chatoiement coloré d'une

pluie d'été ravive les tisons

d'un hiver langoureux lassif

et pestif. Renâitre les flammes

du divin tod et enfourcher

l'enemi du plus profond glaive

médiéval, tel est le bien de l'alternative execution.

 

Bio-Chimie mortelle

Jérome

Prendre les phoetus d'une mère en fusion,

les consummer jusqu'à l'essence de l'être

Retirer les plaintes lassives et executer,

le genitisme des embrions pestiféré.

Medecine alchimique d'un mélange

azostif, catapultes des exils

qui reprendront le chemin de l'esprit

pur d'un suicide morbodif et

assainir la pierre catalistique

de mots langoureux. Violence

agréable pour un requiem d'un

mort-né, vivre vite et crever; tel

est le destin toute composition.

 

Les routes féodales

Jérome

Art malade qui prie les dieux,

d'une inspiration glauquafice,

goure estompée dans les caprices

d'une batisse, description

hasardeuse pour une bière

astoctame, les romains prennetn

Rome, les grecs envhissent

Ephèse et Poséidon prend conscience

des marées interminables que son arrogance a déclenché. S'iamer

pour la déchirer, religion tu es

Dérision tu seras.

 

Requiov

Jérome

Requiem

Diare Comminum Sanctis

Et Liberare Vicitis Maledictis

Fuerum Tempo La Caristatera

Ed Limore Confidentium

Fue Barino Dies Mortare

Quid Content Tempi Muctus.

Ristov

Dioy Communicov Sandka

Et Liberie Vichka Maledov

Fuerstof Tempie Caristorecklakoya

Edie Linorsk Confidchka

Fie Borzowrska Mortaiere

Quod Contov Templi Nuckskoya

 

Oeil orange

Jérome

Dans les longs chemins de fer

Je traîne mon desespoir,

Nostalgique et épique

course effrénée contre temps et espace

libération pléonasmatique,

voyage d'épuration,

longue est la route qui mène

à la connaissance.

Depuis peu, les cellules s'activent,

regénerescence suicidaire,

voyeurisme infatigable,

délire et hilograble,

instinct primaire

mélange acide et sulfureux

l'intelligence n'arien a envié à la bêtise du pouvoir.

 

Lettre à toi l'alphabet

Jérome

Lettre à toi l'alphabet

je te hais invincible

qui rend l'imagination fébrile

pour tous ces mots inavoués.

Jer t'écris ces mots

que tu comprendras,

sous la forme d'une confession de foi,

Mais tu sais combien est déjà loin le bateau.

Lettrre de tous les jours,

Lettre sans amour,

Lettre sans âme,

des mots qui rament.

Lettre et dialogue qui vous haissez,

survivez comme un accord

harmonieux dissonant,

qui pour longtemps

restera sans or,

vous les deux qui communiquez.

 

Mortel dictionnaire

Jérome

plume ensanglantée

qui maltraite les Mées,

qu'as tu fait de ta main,

que tu ne regrettes rien.

Tes paroles restent

nos écrits s'envolent,

et des temps obscurs

au temps du mur,

tu crie partout

tu restes anonyme,

sans visage

que des scripts,

indéchiffrables,

de la nuit des temps,

pour pouvoir communiquer,

les hommes ont du t'aprivoisier,

que comprend tu de cela :

mjfdmqgjhqmdgjhqdmlgjhqdl

rien, ce n'est rien

c'est un homme qui sourit

qui pleures

plume d'oiseau

carnage sans os,

sang si admiré,

je crie ma haine,

j'écris ta haine,

Adieu à toi qui

de mes mots toujours

a perdu ceux de mon enfance,

qui danse dans les fleurs embaumées,

prisons innanimées

bibliothèques de cimetières,

Mort : lire : écrire : pourrir.

Egoïste et lache es tu,

tu ne peux écrire toute seule.

Quand dès le jour,

tu te fais tout noir,

tu pleurs ton sort,

tu crèves la vierge tu pisses tes cierges,

tu crie ton sacrifice,

tu aimes tout les vices,

et de jour en jour,

tu écris toujours,

tu grattes encore,

Mais plus de l'or,

des lignes sans sens

des oreilles sans panses

où mets tu ton honneur

où cahce tu ton malheur,

plume infidèle

couleur du fiel,

odeur de poussière

tueuse de terre.

tu ne te soucie guère,

de tes actions de guerre,

tu n'es pas responsable,

tu ne fais que sable,

et goutte à goutte tu t'épuises,

tu tombe de ta tour de pise,

et dans tes guerres,

on entend ta mère,

qui as dis,

tu es finie.

tu te bats pour survivre,

mais vivre tu n'es pas

de victoire tu es ivre,

Mais ta fierté d'hier sans joie

s'accompagne de sang perdu

crève, crève écriture tu es nue.

 

La Lassisanecte

Jérome

es ton xoerc copanec ti boam

le chicare santorare mi to falcao si,

Dit vin où es tu passé,

flème, pénibelement tu me trâine,

derrière toi,

devant moi,

lire

ivre

comme un chenal trop petit,

si venir est partir,

je préfère rester.

Mouvemement incaculable

survie des jour qui dans la nuit

pro

phé

tie.

Xin tao kingso et temporare

Mialto combourna

que faction que serial

Tatouin Besser, Whofmble Ktrial

Tatouin Besser, Whofmble Ktrial

Du long exode, ils reviennent

les morts poussières,

cendres de gendres,

panses de lances.

De l'agneau il reconnaissent que le loup

et du verbe que l'impératif.

Guerriers aimés, reposés assassinés.

Crevés demain dans cette lucarne

qui dans les esprits incarne

la lueur d'un souvenir

la venu d'un dire

qu'on nomme liberté.

sans excès

lentement

péniblement

mollement

affablé

accablé

atablé

sans gerbe de blé.

Ivre

fouttu

quand foisonne les fleurs du malheur, la victime

a son hymne

malheur à moi,

qui martyr

ne sera plus un souvenir

un pénbile théatre

dans 4 planches de hêtres.

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Compte, conte moi

l'histoire

des langoureux soir

où rien sans joie

on se racontait

des romans d'aventure

sans rien de vrai

sans quelque roi d'Arthur.

 

Excréments divins

Jérome

Doyens des cieux et de la terre qui m'entendez

ecoutez le chant de la cigale assoiffée

elle ne veut pas vous parler ,

elle veut seulement vous voir tous crever.

Elle mange votre poussière,

elle est sans âme et sans vertus

elle n'était pas naguère,

ne cherchait pas de nourriture perdue.

Exister elle ne l'a pas désirée,

Mais vous l'obligez,

vous la séquestrez,

et malgré elle, malgé sa destinée,

elle se bat dans sa putréfaction,

dans toute votre solution,

sans équation,

sans équivalence,

elle cherche et danse,

pour vos yeux,

sans être vieux,

vous n'entendez pas sa crainte,

vous n'entendez pas ses saintes,

viellards maladroits et orgueilleux,

minables prétentieux,

pour qui l'existence n'est qu'un jeu,

que l'on parcourt tous un tant soit peu.

Crève, joue et passe,

telle est notre menace,

qui est le plus habile des deux,

la cigale ou tous les dieux.

Vitimes de votre création,

nous vous execrons.

 

Cathédrale X23

Jérome

Cathédrale de joie, de prière et de maux,

que cache tu dans tes pierres qui te font santifiées,

D'iù sort tu ton silence qui interdit nos mots,

Comment les hommes en sont-ils venus à tout te confier.

Immense labeur, gigantesque ouvrage,

pour tes hommes qui naguère sans pages,

t'on couvert d'un enduit divin,

d'une épaisseur de froid, de pierre.

De barabres ils sont devenus pieux,

et de poussière ils ne devriendront que terre.

Temples oubliés qui n'obésissez qu'à la seule tentation,

celle d'apporter à tous vos fidèles la solution,

le chemin droit et rigoureux vers le paradis,

Mise à mort des espoirs de chacun au profit de ta nuit.

Tu fais chanter les coeurs,

tu fais repirer tes heures,

et dants tous vos malheurs,

n'espérez que des leurs.

 

Grouillages

Jérome

Tu vélocites tes carborets mais sans surcis sur le goret tu vois la puanteur du dégout des égouts du mois d'aout.

Ciel crapuleux ,terre boueuse, bouge un peu, vers la gueuse.

Sinus, minus, con d'us, pas plus.

Arrivé sur les morts, la sorcière ,agare, sort son balai d'arant et les mets tous dedans.

Métamorphose d'osmose

pour le ptit homme morose

avec les pierres qui se meurent

dans les forts de douleurs .

Regarde,

Regarde,

Respire

c'est pire

Plan de bataille

au fond de la faille

le vikings

mort de froid

regarde le nuage roi

Trovkaya es tmpoïtyf.

 

Potences galactiques

Jérome

Dans la mer, plus profond,

au fond : le ciel noir d'eau

la chaleur techtonique.

Orvsk Fari Beta Cossume

Ptolémée et Cléopatre l'un dans l'autre regardent de vlitapie son noeud d'aphnien.

Plus profond, tout au fond les masses visqueuses s'entremêlent rougissant, orangissant

Lumière __________________________________________________________________

Potences galactiques, les terres forminent de la mort

qui sciurent de chair morte en lambeaux.

Noirdisant_________________________________________________________________.